Les gardes ayant besoin d'une excuse pour m'arrêter il avait prétendu que j'avais sexuellement agressé Zoé alors ils m'avaient arrêter pour une période indéterminée et enfermé dans un cellule provisoire apparemment du moins puis que le bâtiment ou j'étais ne devais pas contenir de 3 cellules...Ils avaient fermé les torche pour m'isoler sensoriellement alors je m'adossa au premier mur que je pu et attendit l'arrivé de Zoé...après tout elle était surement la seul a savoir que j'étais ici...La noirceur avait beau m'englobé...j'étais habitué a cela...Puis au bout d'un certains moment je me réveilla du demi sommeille dans lequel je m'étais plongé parce que j'avais entendu la porte s'ouvrir...Je vis un peu de lumière entrer

Petite nuit qui signifie petite mine ce matin. C’est avec peine qu’elle se regarde dans le miroir pour apercevoir ses yeux gris cerné de violet. Elle resta un instant devant psyché à faire semblant de regarder son reflet car en réalité, la prostituée faisait l’inventaire mental de ses douleurs interne. Elle avait des courbatures dans les bras et dans la cuisse. Ses épaules et sa nuque la faisait souffrir et ses reins étaient comme enflammer. La journée allait lui paraitre longue si elle ne pouvait pas se reposer quelques minutes.

Lorsqu’elle sortit de sa chambre, Evalyn découvris qu’elle était la dernière à sortir de sa chambre, elle avait du dormir plus tard que prévu. Ne voulant pas voir ses « collègues » et entendre les commentaires qu’elles feraient sur leur partenaire de la nuit, elle retourna dans sa chambre s’habiller correctement, elle irait prendre l’air et voir si elle ne pouvait pas se changer les idées auprès d’un amuseur quelconque.

Dehors la puanteur ordinaire des rues de la baie des naufragés. D’un pas décidé elle arpentait les rues jusqu'à ce qu’elle se trouve à passer devant la prison. Son cœur se serra. Quelques mois de cela un grand nombre des orphelin avec lesquels elle avait vécus avait été jeté dedans ... Evy n’osait penser à ce qui avait peu advenir d’eux peut être avaient-il réussi à s’échapper ?

Elle s’éloigna de ce temple glauque, mais alors qu’elle reprenait sa marche, des images horribles hantaient son imagination et sa conscience fut plus forte que sa raison. Elle pénétra dans cet endroit sombre. Un homme en uniforme se mit à la toiser d’un œil appréciateur.

Evalyn s’avança vers lui et osa faire jouer de ses charmes, un sourire léger étira ses lèvres et le gardien rougit légèrement devant cette marque d’attention.

- C’est moi qui nourrirait les prisonniers aujourd’hui ...

Le soldat sembla être d’accord par ce qu’il lui tendit les clés ainsi qu’un plat comprenait un vers d’eau et un morceau de pain. Et avec une torche, la jeune fille de joie partie à la recherche de ses camarades disparus.

Elle passa devant plusieurs cellule avant d’en trouver une avec quelqu’un à l’intérieur. Il ne ressemblait pas du tout à un de ses anciens camarades, elle soupira bruyamment et s’adossa au mur observant l’inconnu.

- T’es tout seul ?

lorsque je vis une jeune femme qui n'avait simplement pas encore atteint la vingtaine.Je me demanda si...les garde ne m'envoyait pas une simple diversion pour me faire oublié leur crime d'honneur...et lorsque j'entendis sa voix et la vis s'approcher je me demanda quelle genre de femme pourrais s'aventurer en ces si bas fond...

-Bien sur...Qui prendrait le risque de me laissé avec quelqu'un ? Je suis si sans coeur que je violerais même la femme dont je suis profondément amoureux

dit-il sur un ton neutre qui sous entendait "j'ai rien fait mais les gardes m'adore"

-Dite moi...Seriez vous une Fille de joie ? Parce que qui d'autre oserait s'aventurer ici...

Je détaillais autant que je pouvais son visage...

Le milieu était assez lugubre, une prison quoi ... L’homme lui répondit –oui par ce qu’il s’agissait bien d’un homme d’après sa voix.- Ce n’est pas pour autant qu’elle fit réellement attention à sa réponse. Elle cherchait des yeux et des oreilles un bruit ou un mouvement dans les autre cellules qui aurait pu lui indiquer où se trouvait ses anciens camarades. Tout en même temps, elle réfléchissait à ce qu’elle faisait. Elle était folle. Evalyn serrait ses clefs dans sa main presque à s’en faire mal. Sa mâchoire aussi été serrer. Elle ne voyait rien, même quand elle brandit sa torche en avant pour vérifier que le détenu disait la vérité.

Mais sérieusement, qu’es ce qu’elle était en train de faire. Ce n’était qu’une fille de joie, une abandonner de la vie et du bonheur, une sans famille à la recherche d’un destin, pas une espèce de criminelle qui allait ouvrir toute les cellules en hurlant avant de se jeter du haut d’une falaise.

Elle relâcha sa respiration qu’elle avait bloquée. Elle s’était mise dans une situation de conflit avec elle-même.

Le jeune homme la fit sortir de sa revenir en reprenant la parole.

Une fille de joie ? C’est qu’il était perspicace ! À bon ? Seules les filles de joie s’aventuraient ici ? Bah elle ne faisait pas exception à la règle, mais elle devait avouer avoir un peu peur et son cœur battait la chamade dans cette situation. Elle avait toujours le plat dans la main, Evy baissa les yeux vers celle-ci et tiqua enfin. Il n’y avait qu’un seul gobelet d’eau et qu’une seule miche de pain. S’ils avaient été là, c’est toute la boulangerie qu’il aurait fallu dévaliser.

Au final, Evalyn hocha pour répondre au jeune homme derrière les barreaux. Si elle avait répondu avec sa voix, elle aurait été remplie de sanglot car elle était serrer par l’émotion de ne pas avoir revu une dernière fois ses amis.

Le hors la loi était vraiment seul...

Les yeux toujours rivé sur la pseudo nourriture, elle releva la tête.

- T’as ptètre un peu faim non ?

Elle lui montra ce qu’elle tenait dans les mains sans le regarder directement. Evy ne le laissa pas répondre tout de suite, son angoisse grimpa au fur et à mesure que s’écoulait les secondes.

- T’étais seul quand t’es arrivé ?

Cette fois-ci, elle lui montrait franchement l’intérêt qu’elle lui portait. Ses yeux gris cherchant le regard du reprit de justice comme si la réponse de l’homme avait pu se lire dans ses yeux.

[HRP: Dans le réglement il est préciser de ne pas faire des pavés, si tu trouves que ça commence à faire un peu long, dis le moi d'accord ? Je suis habituée à faire de long rp donc je ne me sens pas écrire ^^"]

Faust s'approcha élégamment et pris la main de la fille de joie a travers les barreaux,il l'avait fait a la fois brusquement et doucement...comment décrire...Son geste avait été rapide mais si souple et délicat qu'il était dur d'y voir la moindre violence.Faust déposa un baisé sur les main de la fille de joie comme s'il venait de rencontrer une princesse mais a ses yeux toute les femmes étaient des déesses d'autre méritait plus le titre que certaines...Zoé était la première en haut de la liste a réellement se mérité le titre...

-Enchanté et c'est un plaisir de posé mes yeux sur une telle beauté même si je ne poserai jamais ni pensé ni touché qui ne soit déplacé...

il prit le pain qu'elle venait de lui offrir et le cassa en deux afin de lui en donné la moitié

-Tu peux te permettre de me regarder tu sais...Je suis pas un monstre...je suis innocent de tout les crimes dont j'ai été accusé...

Evy était restée de glace lorsqu'il lui avait baisé la main. Certain c'était peut être un des seuls qui ne le ferait jamais mais cela ne la touchait et ne la flattait pas. Il resta impassible attendant la suite. Après tout, elle avait les clés dans une de ses mains et il aurait aisé pour le prisonnier de lui tordre le poignet pour obtenir la liberté. Elle s'y était attendue d'ailleurs et une petite grimace était apparue sur son visage fin. Mais au lieu de cela il s'adressa à elle avec douceur, une douceur que l'on réservait aux filles qui étaient destinée à être aimées, pas à une fille de joie. Elle ne répondit rien à l'homme et le laissa continuer. Un petit sourire naquit sur les lèvres de la prostituée lors qu'il s'innocenta lui même et ne pus d'empêcher de répliqué.

- C'est ce qu'ils disent tous ! Et de quel crime es-tu accusé ?

Tout en attendant la réponse elle retira sa main d'à travers les barreaux et regarda le morceau de pain qu'elle tenait. Pourquoi lui donnait-il le morceau de pain ? Il en avait plus besoin qu'elle...

-Je suis accusé d'avoir agresser une femme du même age que moi...alors qu'ils m'ont retiré de son lit et qu'elle avait le sourire aux lèvres jusqu'à temps que ceux-ci m'en retire...Cette femme est merveilleuse et je pourrais te parlé de ses magnifiques yeux pendant ses heures...Cette femme est surement l'amour de ma vie...J'ai simplement choisi de m'arreter une nuit pour lui dire et pour lui montrer...plutot que fuir les autorités encore et toujours...Je suis accusé sans preuve d'être le faucheur,le capitaine de l'âme en peine...Le vaisseau fantôme...Je ne crois pas aux fantômes et vous ?Mais tu as raison de te montré craintive...La plupart des gens qui se disent innocent sont simplement des personnes qui tente de fuir la justice...Dite moi belle comme vous êtes pourquoi etre devenu...Compagne d'honneur d'une soirée...

-pourquoi tu es aussi gentille avec moi ? Je suis seulement qu'un criminel parmi tant d'autre a vos yeux et pour ce qui est de la soif...J'ai beaucoup plus soif de liberté...et d'avoir la chance d'etre en nouveau en sa compagnie...Celle de la belle zoé la déesse des 7 mers...Celle qui règne sur l'eau

Lorsqu'il vue qu'elle avait honte de ce qu'elle faisait il lui prit ses mains délicatement et d'une manière très élégante et lui sourit afin de la rassuré et de lui montré son respect.

-N'est pas honte de ce que tu fais tant que c'est pour une bonne raison ma chère...Mais néanmoins la piraterie ne vous paraitrais pas une meilleur solution pour rembourser vos dette ? Après tout voler de l'argent a des hommes riches quand on est une femme de joie c'est un peu un quotidien non ? Enfin je dis pas que vous êtes une voleuse non mais plutôt que ceux-ci mérite ce qu'ils leur arrivent

Evalyn était de plus en plus sceptique. Tout à l'heure il avait bien dit qu'il n'y était pour rien dans son incarcération et maintenant il se nommait lui même "criminel"... La jeune femme ne dit rien et le laissa continuer. Il semblait véritablement amoureux de cette fille qu'elle ne connaissait pas. Evy se mit alors à rêver que son père avait été comme ça avec sa mère, prêt à braver n'importe qu'elle danger pour la retrouver... Mais elle ne l’avait jamais connu autrement que dans les histoires de sa grand-mère...

Puis, il commença à parler de son métier. La demoiselle commencer à ne plus le suivre.

- Nous somme loin de voler les hommes ! L'argent qu’ils nous donnent, nous le méritons amplement à supporter et à subir tout ce qu'il nous inflige ! Et dans la rue, ce n'est pas comme une voleuse que l'on vous voit, mais comme une moins que rien...

La catin hésita un moment pour réfléchir à comment elle allait former ses phrase. Entre temps elle avait retiré la main que le prisonnier lui avait prise. Ce qu'elle était sur le point de dire était grave mais, devant un homme derrière les barreaux rien avait d'importance. Elle baissa tout de même la voix pour continuer.

- ... La piraterie c'est plus qu'un métier. C'est se battre pour la liberté et contre la tyrannie, sans port d'attache, sans loi, sans restrictions, vivant de pain sec et de rhum, ne cherchant qu'a braver la tempête et retrouver des trésors lointain...

Elle se tu brusquement remarquant qu'elle en avait largement trop dit. De nouveau une vague de honte la submergea. Evalyn se sentait gênée, fautive... Puis elle repensa à la soif dont le prisonnier avait pensé.

- Quand on travail sur le dos... Nous aussi la soif de liberté nous prend. L'envie de respirer autre part que dans ses draps sales. Pour que notre vie nous paraisse moins dure on se met à rêver de romantisme, de douceur et de loin paysage où l'on ne serait pas obligé d'écarter les cuisses rien que pour gagner un peu d'argent... Alors quand tu dis que nous volons l'argent, c'est assez blessant et complètement faux...

Evy attendait qu'il réponde quelque chose, qu'il dise qu'elle avait raison...

-Ne voyons nous pas les voleurs comme des moins que rien eux aussi ?La comparaison est assez similaire non ?Dans le boulot je veux dire pas dans le genre de personne qui l'éxerce car jamais une femme comme vous ne se mettra a vivre du vol mais néanmoins je ne saurai jamais l'homme qui prétendrai être au dessus des autres mais dit moi une chose ma chère pour ne naviguer vous pas au lieu de faire ce que vous faite...Je trouve sa affreusement dégradant pour une femme aussi belle que vous quoi que vue votre apparence vous ne devez même pas avoir l'age d'être appelé femme.Avez vous vos 21 ans ?

Plus il posait son regard sur elle et plus il se disait que c'était impossible qu'elle les ait...non pas que la beauté lui manquait mais sa peau quoi que souillé par le travail et par les hommes semblait encore parfaite comme immaculé de la moindre trace de ce qui aurait pu contenir des traces de cicatrices peau sèche ou creux dans la peau...

-Vous avez le coeur d'une pirate c'est assez visible...Prenez le comme un compliment

il avait regardé un peu plus haut que ses seins,en plein milieu car aux yeux du pirate c'est la que l'âme ou du moins une partit se situait...Juste la ou le creux des seins commençait bien sur l'âme se situait au même endroit chez un homme simplement on ne pouvait pas se fié au creux des seins...

-Pardonné mon regard posé sur vous mais comparé a la plupart des hommes ce n'est pas vos formes que je regardais...Et tu as raison Pardonne moi je me suis simplement mal exprimé je ne pense pas de mal des femmes de joie seulement de l'emploie car il est de 1 dégradant et de 2 il efface tellement les rêves des gens qui le pratique...que ça en ait triste...

Les voleurs n’étaient-ils pas considérer comme des moins que rien ? Si bien sur que si, mais ce n’était pas la même catégorie que les catins Oui c’était ça, pas la même catégorie... pourquoi ne naviguait-elle pas ? Par ce qu’elle n’en avait jamais eu l’occasion, jamais eu l’occasion de suivre les traces de sa mère. Evy s’était imaginer tellement de fois sa mère qui viendrais la sauvé de sa prison de verre et qu’il l’emmènerait sur un rafiau... Tant de fois...

Sa gorge se serra alors que le condamné continuait à parler. Il n’avait pas la façon de parler d’un voleur, ni d’un tueur, à moins qu’il cache son jeu ou qu’il ait dit la vérité, qu’il ne méritait pas d’être ici, qu’il soit victime d’une erreur de justice. Cette pensée lui aurait presque tiré un sourire dans une autre situation. Elle aussi était victime d’une erreur de justice !

Son interlocuteur avait continué à parler. 21 ans ? Elle les aurait dans quelques années. Deux ans... Aujourd’hui elle avait au moins ses 19 ans. Les filles de la maison close s’étaient tout concertées pour dire aux clients qu’elle paraissait très jeune. Evalyn avait également joué le jeu. Et quel jeu ! Mentir, volé, tout ça reviens au même, c’était de la survie et rien d’autre.

Ses pensées furent interrompues par un mot.

« Pirate »

Un sourire en coin apparut sur les lèvres de la fille de joie. Pirate. Vit de liberté, de désir assouvie, d’aventure, dire adieux au quotidien, l’action... Elle aurait voulu répondre à tout ce qu’il disait, s’expliquer, dire tout ce qu’elle avait sur le cœur mais sa langue gardait tout. Ne pas se confier à un homme, jamais... Evalyn l’écouta alors jusqu’au bout...

Elle n’avait même pas remarqué les yeux de l’homme qui avait dérivé sur sa poitrine, elle en avait sûrement pris l’habitude. L’emploie des filles de joie...

- dégradant, étouffant, sale, frustrant et très loin du large.

Un sourire triste apparut sur son visage. Le métier de catin, si l’on pouvait le qualifié de métier et était juste déguelasse pour celle qui n’en trouvait pas de satisfaction comme Evy commençait à se faire une raison.

Il fallait qu’elle change de sujet, qu’elle parle d’autre chose.

- Pourquoi êtes-vous enfermé, uniquement pour être tombé amoureux d’une femme ?

Un jour peut être un homme tomberais amoureux d’elle. Comme un garçon tombe amoureux d’une fille. Par ce qu’aucun homme n’aime une catin...

-Non pas pour l'amour que je lui porte mais pour la mauvais réputation que je traine sur mon dos et comme j'ai comme réputation d'être un monstre il parait impossible aux commun des gens que je tombe amoureux comme tout le monde... Je suis aussi humain que tout le monde pourtant même si je ne peux pas me vanter d'être blanc comme neige jamais je ne ferais de mal a une femme et encore moins celle que j'aime...Les accusations que les garde porte sur moi sont absurde...Pourriez-vous me faire sortir de prison s'il vous plait ?

Il s'approcha et tenta de la supplier en lui prenant la main mais il devait avoué que la souffrance qui amplissait son corp était mental plus que physique et qu'il espérait qu'elle voudrait bien le libéré...

Voilà où elle en était arrivée. Un détenu lui tenait la main. Evalyn était dans une mauvaise situation vraiment très mauvaise. Comment elle avait pu se retrouver là. Cependant elle devait tout de suite arrêter de se plaindre de son sort. Elle était la seule responsable de son avenir et elle devait trouver une solution pour continuer à vivre.

La demoiselle regardait ses clefs qu’elle avait dans son autre main et l’individu en face d’elle. Il avait beau avoir un réputation de monstre comme il le disait si bien, il n’en avait aucunement les manière et l’apparence. Il semblait souffrir... En même temps qui serait rempli de joie à l’idée d’être enfermer dans une prison ?! Non elle devait choisir. Soit le libérer, tenter de courir pour sauver sa vie, car après tout on ne mettait pad les gens en prison pour une histoire de réputation... si ? Evy imagina qu’il pouvait très bien être en train de la manipuler avec des paroles douces et des principes inexistants. Peut être que même l’histoire de la fille était inventée. Pourtant il semblait plus que sincère dans ses paroles.

*Réfléchi Evy, Vite !*

Mais en même temps peut être était-il réellement tout ce qu’il avait dit et qu’il n’aspirait qu’a sortir pour prendre cette femme dans ses bras.

Maintenant, Evalyn faisait tourner le trousseau dans ses mains. Après tout, elle était venue ici dans le but de libérer quelqu’un... Ses amis n’avait pas eu de chance, mais l’homme en fasse d’elle pouvait encore espérer.

La femme de joie dû s’accrocher au barreau. Un flot d’idée venait de se mettre à tourbillonner en elle ce qui lui donna le vertige. Quand tout s’estompa, elle avait tout un plan dans sa tête. comme sa mère l’aurait fait, une idée pour se sortir de ce piège dans lequel elle vivait depuis bien trop longtemps ! Elle releva le visage et planta son regard dans celui du jeune homme.

- Si je te libère, comment comptes-tu me garantir que tu ne tenteras pas de me tuer ? Et puis je veux avoir une contrepartie, ce n’est pas rien de faire sortir quelqu’un de prison, je risque d’être arrêter !

Evy s’était éloignée tout en parlant. Elle avait dégagé sa main qu’avait tenu le prisonnier et était maintenant adosser au mur d’en face. Attendant une réaction de la part du détenu.

-Ma chère quel homme oserait tué une si belle femme qui en plus vient tout juste de le libéré je n'ai aucune raison de vous tué n'es-ce pas ? Et pour ce qui est de la contrepartie dite moi quel est votre désir je me plait déjà a m'imaginer vous les réaliser ...

il lui offrit un clin d'oeil pour lui faire comprendre qu'il parlait de sa beauté lorsqu'il disait cela

-Ne le prend pas mal voyons je rigolais quel homme bien élevé s'addresserait a une femme de cette manière

avoua t-il avec un sourire de gamin puis il lui dit plus sérieusement

-alors dit moi ton prix j'ai vraiment besoin de ma chérie ma chère Zoé...

Raphaël se demandait bien quel serait bien le prix qu'elle demanderait mais si il s'agissait d'un place parmi son équipage elle aurait a radicalement changer de style vestimentaire

-Dite moi...Croyez vous qu'il suffit pour moi de claqué les doigts pour vous achetez un bateau ? Parce que si c'est le cas...Je vais gâcher votre joie et vous dire que non ce n'est pas le cas mais je peu néanmoins vous embarquez dans mon équipage et celui-ci est principalement composé d'homme et comme vous êtes attirante...ils en voudront a votre jupe et votre robe d'être sur votre corps....Mais si vous voulez malgré tout vous faire une place dans mon équipage je n'ai rien contre...

Faustus pris sa main a travers les barreau et embrassa sa main une seconde fois afin de lui faire remarqué que dans son regard a lui elle méritait plus que sa vit de fille de joie...

-Oh moins sur mon navire ils finiront pas t'adorer en tant que personne au bout d'un moment même si certains se muscleront le poignet...Mais veuillez les pardonné vous êtes une femme des plus jolie et votre beauté continuera de grandir pendant encore quelque années...

-Ne vous inquiétez pas ma chère je n'ai nullement l'intention de vous prostituez seulement certains homme sur mon bateau auront peut-être de mauvaise intention c'est tout ce que je dis.Et croyez moi une femme sur mon bateau me serais très utile on a beau dire un homme a toujours besoin d'une femme ! Pour Cuisto,pour sa féminité et pour sa légendaire intuition féminine pas qu'un homme ne sois pas capable de faire la bouffe mais...je sais pas lorsque c'est préparé avec amour par une femme il y a toujours un petit gout de plus,une petite délicatesse sans que cela paraisse...C'est comme si vous ajoutiez de la magie a notre plat.Selon moi il en est de même pour tout ce que vous faites pour nous...Et si vous voulez mon avis ce sera encore a vous de me sauvé la mise il reste qu'il faut que je sorte de cette prison ... pas que de la cellule... et seul vos beau yeux peuvent ouvrir la porte

Bon maintenant qu’il était sortit de sa prison, il fallait sortir du bâtiment.

*Soit il fait semblant de me prendre en otage… Soit on trouve un moyen de sortir…*

Les yeux la prostituée cherchait ce qu’elle pouvait. Ses yeux trouvèrent un balai et un seau dans un coin. Mais ils ne pourraient rien faire avec un seau et un balai.

- Ça va bien en bas ?!

Le gardien venait surement de réaliser que cela faisait un petit moment qu’Evy était descendue.

- Qu’es ce qu’on fait chuchota-t-elle à l’ex prisonnier.
- Mademoiselle ?!
- Il faut se dépêcher !!!

Effectivement, il fallait se dépêcher car déjà des pas se dirigeaient vers les geôles.

Il ne prit pas grand temps a réfléchir,lui qui était tant habitué a faire des plans en un instant afin de s'échapper.

-Dite leur que je demande a bénéficier de vos "Service" si vous voyez ce que je veux dire,ils seront d'accord mais bien sure étant si courtois envers les femmes ils tiendront a te regardé te déshabillé...alors je n'aurai qu'a me caché derrière la porte pendant que vous les ferrez bavé...en vous déshabillant si lentement que vous leur montrerai rien au final si ce n'est vos épaules cela vous semble un marché équitable ?

Raphaël se dépècha a se caché derrière la porte et attendit la reponse de la jeune femme pour voir si elle tenait vraiment a ce qu'elle demandait mais au yeux de raphaelle cela apparaissait évident...

Pendant la dance de charme Faust s'était insinué derrière le garde tout doucement et discrètement et lui avait subtilisé l'épée le plus rapidement possible car visiblement le temps commençait a lui manqué et ensuite il assoma le guardien avec le dos de la poignée et se dépècha a allé vers la jeune femme de joie pour s'excuser

-Je m'excuse ! j'avais de la difficulté a atteindre son arme et puis il avait tout le temps la main dessus mais quand vous l'avez fait frémir j'ai l'impression qu'il aurait voulu être l'homme de votre vie pendant un instant.Et on le comprend ! car a partir de maintenant seul cet homme sera autorisé a te touché !

il était déjà quelque peu protecteur avec elle après tout elle était intelligente,belle et douce des vertues qu'une femme ne devrait jamais perdre...La beauté qu'il lui trouvait n'avait rien a voir avec le fait qu'elle venait de danser pour séduire mais plutôt avec le fait qu'elle souriait un peu comme zoé...

Il lui prit la main précipitamment et brusquement sans que le geste paraisse brutal et que la poigne lui sois douloureuse néanmoins et il l'amena hors de la prison aussi vite que possible avant de la serrer dans ses bras

-Merci du service je suis vraiment en amour avec cette fille tu sais...

Evalyn avait eu un instant peur que l’ancien prisonnier ce soit fait la male sans l’attendre. Mais non, il venait d’assommé le gardien et même de lui présenter ses excuses. Evy était soulagée. La partie était à moitié gagner.

Cependant, avant même qu’elle est eu le temps de remettre ses lacets correctement, il lui prit le poignet et l’entraina au dehors de cet endroit lugubre.

L’air était plus respirable, le soleil brillait légèrement malgré la grisailles de nuage et le vent frai. Evy n’avait plus aucune notion du temps. Combien de temps avait-elle pu rester à l’intérieur de cette cage pour homme ?

Encore une fois elle fut surprise par la réaction du jeune homme. Il venait de la prendre dans ses bras. Comment devait-elle prendre cette marque d’affection ? Elle attendait de voir la suite. Mais il ne semblait pas trop intéresser par ses charmes. Ou alors il cachait plutôt bien son jeu.

Puis il parla de son amoureuse. Cela fit lever les yeux au ciel et reculer hors de l’étreinte du jeune homme. Elle releva la tête fièrement pour planter son regard dans celui de l’homme.

- N’oubliez pas ce que vous m’avez promis. Une place sur votre navire ! Je vous ai libérer. A vous d’en faire autant.

Elle le défiait du regard guettant un signe qui annoncerait un retournement de situation.

- Nous allons au port ?

Lorsqu'elle demanda si nous allions au port mes soupçons furent confirmé la jeune evalyn ne me faisait aucunement confiance mais je devais faire quelque chose pour remédié a la situation car après tout elle allait faire partie de son équipage...

-Je n'oublie jamais une promesse et je n'ai aucune raison d'oublié celle-ci vous méritez amplement ce vous demandez arrêter de pensé que je vais vous donnez un coup de poignard dans le dos et vous laissé ici...C'est bien connu un pirate ne laisse jamais un membre de son équipage derrière.Encore moins une femme...Bien sure que nous irons au port...J'irai vous menez mais ensuite je reviendrai car je veux m'assure qu'elle n'a rien c'est compris ?

Puis je me dirigea vers le port avec elle me cachant des gardes serrant toujours sa main pour me rassuré que zoé n'avait rien et je siffla et un immense bateau qui paraissait abandonné comme dans les légendes des bateau fantôme apparu et les gardes approchèrent un instant pour faindre le courage pour ensuite fuir

-Voila votre nouvelle demeure très chère...
dit-je tout en l'aidant élégament a embarqué...